De nombreux « corridor de développement » de nouvelle routes et chemins de fer prévu à travers l'Afrique au nom du développement économique pourraient détruire les forêts équatoriales et les savanes du continent, pousser beaucoup de personnes à envahir les aires protégées et offrir seulement possibilités limitées d'augmenter la production agricole, affirment des scientifiques dans une nouvelle étude.

Si elles sont construites, les 33 lignes de transport géantes, dont certaines seront longues de 3 000 km, ouvriront l'intérieur de l'Afrique à l'agriculture et au commerce et sont susceptibles de favoriser l'immigration à grande échelle, y compris des mineurs légaux et illégaux, les intérêts agricoles commerciaux et des personnes en quête de zones agricoles ou de pâturage nouvellement accessibles, selon le rapport publié dans la revue Current Biology.

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