Ont pris part à la session parallèle du mercredi 9 septembre 2015, une cinquantaine de participants. La session modérée par le CIFOR a offert une occasion supplémentaire de partager les expériences de l’Afrique Centrale en matière de renforcement de la sécurité alimentaire et la nutrition à travers la gestion et l’utilisation durables des PFNL et la faune sauvage et de présenter les options stratégiques de la COMIFAC sur cet aspect

Bien vouloir télécharger les présentations ci-dessous :

S3.1 - Renforcement de la Contribution des forêts à la sécurité alimentaire et la nutrition - Acquis et défis pour l’Afrique Centrale - Jean-Claude NGUINGUIRI -  Forestry Officer, FAO/SFC

S3-2 - IMPORTANCE DES PFNL POUR LA SÉCURITÉ  ALIMENTAIRE ET LA NUTRITION -  EN AFRIQUE CENTRALE - Ousseynou NDOYE,   FAO 

S3-3 WFC2015- PPP side event COMIFAC-FAO_06-09-2015.pdf (1.6 Mo)

S3- 3 - Options stratégiques de la COMIFAC sur les forêts pour la sécurité alimentaire et la nutrition en Afrique Centrale - Chouaïbou NCHOUTPOUEN,  Secrétariat Exécutif de la COMIFAC

S3-4 -  Contribution de la domestication des arbres fruitiers locaux à la sécurité alimentaire et nutritionnelle en Afrique Centrale - Zac Tchoundjeu (ICRAF West & Central Africa)

Note d’information :

Les forêts tropicales d’Afrique centrale couvrent près de 140 millions d'hectares et regorgent, outre le bois d'œuvre, de grandes potentialités en matière de PFNL d’origine végétale et animale pour le bien-être des populations.

75 millions de personnes appartenant à environ 150 groupes ethniques en Afrique Centrale utilisent ces ressources au quotidien pour satisfaire leurs besoins de subsistance et aussi comme source de revenu et d’emploi.

Que ce soit au niveau local, national, régional et international, les PFNL procurent de la nourriture, des plantes médicinales, des plantes ornementales, de l'énergie, des matériaux de construction, des équipements de pêche, des biens et des ustensiles divers aux populations.

Malgré leur importance, les PFNL sont considérés comme un secteur informel et ne sont pas gérés durablement. Depuis 2005, les pays de la COMIFAC se sont engagés à gérer de façon durable et concertée les PFNL afin de maximiser leur contribution à la réduction de la pauvreté, au renforcement de la sécurité alimentaire et la nutrition.