Si vous avez parcouru les informations, 2017 semble peut-être avoir été une année difficile pour le changement climatique.

Les États-Unis et les Caraïbes ont subi une saison d'ouragans dévastateurs. Partout en Afrique, les populations ont ressenti l'impact de saisons consécutives de sécheresse qui ont provoqué des récoltes brûlées et des moyens de subsistance réduits. Et de fortes pluies et des inondations ont forcé des dizaines de milliers d'évacuations en Asie.

Nous avons tous vu ces titres, et peut-être plusieurs autres qui nous laissent découragés, c'est le moins qu'on puisse dire. La fait est que ces titres ne disent pas tout.

Pendant toute l'année, j'ai travaillé aux côtés des leaders du climat des pays développés et en développement à travers le monde dans le cadre du Fonds de Partenariat pour le Carbone Forestier (FCPF) de la Banque mondiale et de l'Initiative du Fonds BioCarbon pour les paysages forestiers durables et avec des partenaires tels que le Programme ONU-REDD. Ensemble, nous travaillons sur la conception et la mise en œuvre de programmes ambitieux et à grande échelle pour transférer des secteurs entiers de la foresterie, l'agriculture et l'utilisation des terres vers des modèles de production plus durables (et souvent plus rentables) qui libèrent les forêts primaires de la pression.

Il s'agit d'un effort qui ne va pas aussi vite que certains des titres négatifs se propagent. Mais ce sont des programmes révolutionnaires à fort potentiel d'atténuation des changements climatiques et d'amélioration des moyens de subsistance. Ce sont des programmes qui doivent faire partie de la conversation lorsque nous parlons de l'état de la planète et du changement climatique.

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