Le FAPAC créé et capitalisé, par exemple à hauteur de 30 millions d'Euros, peut générer des bénéfices annuels de l'ordre de 5 millions d'Euros, suffisants pour prendre en charge le fonctionnement (charges récurrentes) du RAPAC et à travers un guichet spécialisé, de la COMIFAC.

Ces bénéfices permettront au RAPAC d'exercer sa vocation de servir de réseau de partage de bonnes pratiques entre les professionnels de la Conservation dans la sous-région Afrique centrale. Et, toujours à travers des guichets, des partenaires financiers habituels de certaines aires protégées ou agences nationales pourront trouver en FAPAC un instrument de financement fiable et pérenne pour continuer à soutenir la conservation de la biodiversité au détriment des projets et programmes intermittents.

L'étude de faisabilité pour la création du FAPAC, disponible, prévoit une période de 3 à 5 ans pour créer, capitaliser et commencer à récolter des fruits  du Fonds Fiduciaire sous-régional. Le coût pour la mise en oeuvre de cette période de création, hors la capitalisation, est de 1 à 1,5 millions d'Euros.

RAPAC cherche pour FAPAC, des Ambassadeurs de Bonne Volonté pour décrocher, auprès des Bailleurs de Fonds et des Fondations ce financement de départ. Des personnalités célèbres dont le cœur bat vert, sont sollicitées pour aider FAPAC à voir le jour, en vue de soutenir durablement la conservation de la biodiversité dans le Bassin du Congo.

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